SON’NI (offrande en Bambara) explore les dimensions de l’esprit et prend source dans les racines animistes de l’Afrique de l’Ouest.
Au Mali, Arnold Grojean est amené à s’approcher des sociétés occultes telles que les Donso (chasseurs), les djinétigui (possesseurs d’âme), les féticheurs (sorciers), les marabouts… Il porte également un intérêt particulier aux objets liés aux pratiques cultuelles. Inspiré par l’énergie du fétiche, objet réalisé avec des intentions spécifiques lui apportant une certaine « vie », Arnold Grojean commence à s’intéresser à cette frontière de l’objet, du vivant, de l’animé. Il réalise également des œuvres sculpturales vivantes en intégrant des êtres humains et des animaux, ainsi que différents éléments organiques utilisés lors des rites locaux.
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